Hello everybody, this message is for Mrs Jourden, Mrs Barbot and you. Today we will talk about Herculanum. This town was destructed the same day as Pompei. Thanks to a thick layer of mud, it has a very good conservation. During the Antiquity, Herculanum was an harbor, but, today, it is at 300 meters from the sea. Down there, we saw two magnifical mosaics : one represents Triton, one divinity of the sea and the other represents Neptune and his lover. This mosaic is colored and decorated with shells. To conclude, Herculanum is one fabulous city not to be missed.
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Lundi 18 mars
Aujourd’hui, on a visité le château d’Alfonso, un roi d’Espagne qui s’est installé à Naples (après les angevins). Pour lui, on a besoin de quatre choses pour régner: la force , la justice, la prudence et la tempérence. Il avait aussi quatre symboles : -le livre ouvert, où l’on ne voit que la couverture.Il cache un secret et le roi ne le révèle que lors du solstice d’été, dans la salle du trône. -le millet coûtant cher à l’époque, symbole de richesse. -le nœud, qui symbolise le lien entre lui et ses chevaliers. -le trône périlleux, ou chaise dangereuse, est symbole qu’il est le deuxième Galad, fils de Lancelot et lui seul peut aller chercher le Graal et s’asseoir sur la treizième chaise autour de la table ronde ; la chaise dangereuse, représentée avec une flamme sur l’assise. Mardi 12 mars, par Abel :
« Hier, quand on s’est couchés, il y a eu une très très très grosse tempête. Tellement grosse que la tente a failli s’envoler. Aujourd’hui, on a fait deux heures de camion pour aller à Torre del Greco. On est allés dans un hôtel (nb : une location) paradisiaque qui me plaît beaucoup. Un beau jardin, des assiettes, des couverts et un four ! » Mercredi 13 mars On visite Pompéi. Vraiment chouette, vraiment grand (il faudrait 3 jours de visite). Plein de surprises partout, et des montagnes en neige autour, dont le Vésuve. Bref, on n’est pas déçu. Lucas et Marion sont ravis car ils ont lu « les derniers jeux de Pompéi » de Anne Pouget et découvrent les lieux des pérégrinations de leurs héros ; Abel est enthousiaste devant les canalisations en plomb de la Ville ; Elouan saute partout et surtout sur les passages piétons malgré son bras dans le plâtre. Retour le soir dans notre appartement de rêve de Torre del Greco pour prendre un apéro au campari Spritz. Jeudi 14 mars : Repos pour Elouan, Marion et Pierre O. On décide que si les radios d’Elouan sont bonnes samedi, on achète une charrette par internet et on repart le jeudi suivant. Le soir, après cette grosse journée, on a bien mérité notre apéro au campari Spritz. Vendredi 15 mars : Il faut bien faire un peu de sport. On va donc prendre un Bus pour monter en haut du Vésuve. Une ballade extraordinaire (ça finit à pied quand même), avec fumeroles pour de vrai, pierres ponces, cratère inquiétant, vue magnifique, et repas à 15h30 histoire de se faire un peu mal à la tête et user un peu les enfants. Tout le monde a rempli ses objectifs de la journée : Malo a cassé des cailloux pour trouver des diamants, Abel a ramassé des pierres ponces, Lucas a vu des fumeroles, Marion et PO ont vu Pompéi de haut (et en tout petit, petit) et Elouan a touché un nuage. Grand UNO le soir à 6, pendant l’apéro. Vraiment sympa. Tout le monde est très content de notre rencontre avec la star de la Région avec qui on prend tous nos petits déjeuner depuis notre arrivée (le Vésuve donc) et qui fait tellement parler de lui. Samedi, après 5 jours de pédalage, nous trouvions tranquillement notre rythme, et après une superbe journée ensoleillée, nous sommes arrivés au camping. Elouan a escaladé une barrière toute bête et a fait une mauvaise chute: double fracture de l'avant bras! S'en est suivi une visite des urgences italiennes, bien aidés par Italo le gérant du camping qui a vraiment été très gentil et prévenant avec nous.
Nous sommes ensuite restés sur place (Terracina) dans un camping fermé coincé entre la route et la mer (avec de magnifiques couchers de soleil), le temps de nous retourner. Nous projetons de rester une semaine à Naples en attendant la radio de contrôle pour le bras d'Elouan, et en profiter pour visiter. Malgré la déception, nous gardons le moral et réfléchissons à un programme adapté. ça y est, on est partis à vélo!
Nos premiers coups de pédales sont donnés sur la via appia antica, voie mythique bordée de vestiges romains: un musée à ciel ouvert a remarqué Abel! Elle a gardé en partie ces pavés anciens, difficilement praticables à vélo, mais les garçons ont adoré faire du "vtt". Nous sommes arrivés un peu plus tard que prévu... Le lendemain, nous découvrons les routes italiennes, les voies sont assez larges et les voitures peuvent nous doubler facilement, ce qui est rassurant car il y a pas mal de circulation. Les paysages sont magnifiques, les routes bordées d'oliviers et de plantations de kiwi. Nous nous sommes arrêtés dans un "agriturismo", exploitation de kiwi et raisin bio, qui a accepté de nous laisser planter la tente même si son camping était fermé. Georgio était très gentil et prévenant, même si nous étions très frustés de ne pas pouvoir vraiment communiquer. Nous profitons de cette première semaine pour caler notre rythme, nous faisons des petites étapes et malgré cela nous ne sommes pas toujours couchés très tôt (sauf chez Georgio où tout le monde était couché à 19h!). Nous sommes repartis sous un fort vent de face pour arriver jusqu'au bord de mer. Nous longerons maintenant la méditerranée pour quelques jours et traversons "Lido di Latina", une station balnéaire qui semble un peu morte pour notre passage en hiver. Suite au dernier commentaire de Timothée, voici des photos de Rome ! Lucas Extrait du carnet de bord de Malo:
Je vais vous parler d’une ville. Une ville que tous les enfants veulent voir. Une ville qui comporte un pays. Une ville immortelle. Une ville avec un passé sanglant mais extraordinaire. Une ville joyeuse et pleine de vie. Une ville inconnue de personne. Une ville que le monde a comme capitale. Une ville qui s’appelle Rome. Tout commence à la gare. Ma famille et moi nous sommes mis d’accord pour visiter le Colisée. Un monument sans lequel Rome ne pourrait exister. Dans cette enceinte gigantesque, à l’époque où Rome était sublime, où les habitants étaient vêtus de toges, où l’Europe était contrôlée par une seule et même personne, où les ruines n’en étaient pas, se déroulaient des jeux, comme des courses de chars, des batailles navales, des bêtes sauvages dévorant des prisonniers, et enfin, sans doute le plus populaire, des combats de gladiateurs. (...) |